Claude Marcoux, un homme qui a suivi sa voie…

Oct 20, 2021

Assurance Claude Marcoux

Quand on lui demande comment il a fait pour fonder un bureau aussi prospère qu’Assurance Claude Marcoux, Monsieur Marcoux répond : « C’est l’intuition… ». Claude Marcoux est courageusement retourné aux études à l’âge de 48 ans pour effectuer son cours en assurance. Il savait qu’il ne devait pas se tromper, vu son âge avancé, et il a fait confiance à la vie. Quand il était plus jeune, un homme était venu chez lui et lui avait dit: « Tu serais très bon en assurance ». À cette époque, il semblait loin d’être convaincu que cette affirmation portait une vérité. Une occasion s’est répétée, et il ne l’a pas prise. Et puis une troisième, et il a finalement décidé d’étudier dans cette discipline. Fondateur d’Assurance Claude Marcoux, il a légué la présidence à sa fille, Francine Marcoux. Entreprise prospère qui s’agrandit d’année en année, Claude Marcoux est fier que sa fille assume la relève de l’entreprise qu’il a bâti à la sueur de son front.

 

Les origines de Claude Marcoux

Claude Marcoux est né dans la ville de Québec, mais a grandi à Trois-Rivières. Il était le troisième d’une famille de trois enfants. Son père travaillait pour les postes canadiennes. Il est demeuré à Trois-Rivières jusqu’en 1965 pour déménager ensuite dans la région des Cantons-de-l’Est. « Quand j’habitais à Trois-Rivières, je voyageais à travers la province. Chaque fois que je venais dans les Cantons-de-l’Est, je me disais que si un jour j’avais l’opportunité de m’y installer, eh bien je le ferais… Et une opportunité s’est présentée en 1965.», confie Monsieur Marcoux. Après avoir travaillé dans les produits sanitaires à Trois-Rivières pendant plusieurs années, il est déménagé à Sherbrooke. En 1979, une prise de décision importante se glisse sur sa route : il retourne sur les bancs d’école malgré son âge. « À l’âge que j’avais, il ne fallait pas que je manque mon coup! » Il n’a pas choisi l’assurance, c’est l’assurance qui l’a choisi! « J’ai commencé en assurance vie, et puis en assurance générale pour la compagnie Les coopérants ». Par la suite, cette compagnie a éprouvé des difficultés financières et a été transféré à Estrie Richelieu, une autre compagnie pour qui Monsieur Marcoux a été courtier d’assurance.

La fondation d’Assurance Claude Marcoux inc

Grâce aux difficultés de l’entreprise pour laquelle il travaillait, Claude Marcoux a décidé de fonder son propre bureau d’assurance. « Cette décision-là, je l’ai prise parce que lorsque tu travailles pour quelqu’un, tu dois penser comme cette personne. C’est un peu comme un parti politique, si tu es avec le parti libéral, tu dois penser comme le chef libéral, et si tu es péquiste, tu dois penser comme un péquiste. Et moi, je n’étais pas à l’aise de penser comme une autre personne que moi-même. » Monsieur Marcoux a ainsi pu transmettre sa philosophie et sa façon de voir les choses à sa fille qui la communique aux employés du bureau. « Quand Francine a commencé à travailler, je me souviens, je lui ai dit : « Ici, on ne travaille pas pour faire de l’argent, le but c’est la satisfaction du client. On doit le protéger comme il se doit et s’il ne souhaite pas s’assurer correctement, et bien il devra s’assurer ailleurs. C’est important de bien travailler. » »

La philosophie a toujours été ainsi et les clients se font plus nombreux d’année en année. Claude Marcoux a érigé sa clientèle lentement, mais les personnes assurées sont demeurées fidèles, et ce, à travers les générations. En effet, il n’est pas rare de constater que le père et le fils conservent le même assureur depuis plus d’une vingtaine d’années.

Claude Marcoux et l’assurance agricole

Monsieur Marcoux était fortement attiré vers le secteur agricole. Pour lui, les agriculteurs sont des gens qui ont « les deux pieds sur terre ». Il s’est toujours senti à l’aise avec cette clientèle car il pouvait discuter des choses réelles, et des sujets qui l’intéressaient. « Les agriculteurs savent de quoi ils parlent et où ils s’en vont. Ils savent qu’il faut semer pour récolter. En ville, ce n’est pas le même phénomène, les gens pensent plus à la récolte qu’à la semence, et vient le temps où il n’y a plus de récoltes. J’étais bien à l’aise avec ça, c’est l’intuition qui m’a guidé. La base de la vie, c’est l’intuition. Il faut que tu ailles à l’endroit où tu es attiré, c’est là que ce sera le plus intéressant, et la vie sera beaucoup plus belle! »

Sur ces sages conseils, Monsieur Marcoux laisse graduellement derrière lui cette entreprise en toute confiance, aux mains de sa fille Francine Marcoux. Sa petite-fille Sarah Lespérance, travaille aussi dans le bureau. « Ma petite-fille a un immense talent, tout ce qu’elle fait, c’est numéro 1. », dit-il. « Le plus beau cadeau qu’on pouvait me faire, c’est de voir ma fille reprendre le bureau, parce que la clientèle, ça devient une partie de toi-même, tu ne veux pas laisser ça à n’importe qui… ».

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